3 idées de jeux autour de la remise des cadeaux

3 IDEES DE JEUX AUTOUR DE LA REMISE DES CADEAUX

. Un colin-cadeau : l’enfant fêté a les yeux bandés, les cadeaux sont posés en différents coins de la pièce. Soit il les cherche sans que personne ne lui dise rien, soit on lui donne des indications (tu chauffes, tu brûles…). C’est assez drôle : parfois, il tâte un objet du salon en se demandant si c’est un cadeau ou non. Une difficulté supplémentaire ? Une fois le paquet retrouvé, il faudra, juste en tâtant l’emballage, deviner ce que c’est. En cas de difficultés, l’enfant déballe, ouvre le cadeau toujours yeux fermés, et doit dire de quoi il s’agit. Bon, sa patience ne va pas toujours jusque-là…

Variante : si davantage d’espace, on fait un colin-maillard classique, mais où chacun tient son cadeau en mains.

. Le jeu des voix : là encore, votre enfant a les yeux bandés. Un adulte désigne un copain ou une copine, celui-ci s’avance et dit « joyeux anniversaire » avec la voix la plus déformée possible. Il faut bien sûr reconnaître la voix. En cas d’erreur, on peut avoir prévu un gage.

Si l’enfant est imbattable, on corse un peu en désignant 2 enfants qui diront « joyeux anniversaire » en même temps !

. Les cachettes : chacun va cacher son cadeau dans la pièce, ou a le choix entre deux pièces (salon + cuisine par exemple). Pour corser le tout, on peut imposer un timing. Exemple : l’enfant a 2 minutes pour avoir retrouvé tous les présents. Attention à ne pas le faire à travers toute la maison, surtout si elle est grande : parfois, un enfant oublie ou il a caché son cadeau et plus personne ne le retrouve !

Sorties d’anniversaires à Paris, Île-de-France ou ailleurs

Vous avez décidé de faire, dans un premier temps, une sortie en ville ?

Pour un groupe survolté : commencez la journée par la sortie la plus défoulante possible. Si beau temps, inutile de chercher midi à quatorze heures : un parc, un grand espace d’herbe et des jeux. Course-poursuite, foot, douanier-contrebandier, ballon-prisonnier… Faites-les bouger au maximum, qu’ils crient, courent, s’agitent tant qu’ils peuvent. Plus ils se défouleront maintenant, mieux ils seront prêts, ensuite, pour des activités plus calmes.

Si mauvais temps ou temps trop froid, un Laser Game fonctionne bien.

Pour un groupe plus calme il y a les expos, sorties au musée… Notamment le Louvre propose des visites spécial enfants, et la cité des sciences des expos qui plaisent à tous, avec différentes expériences à vivre.

Une fois de retour…

Un conseil : faire attention aux jeux vidéo. Les limiter, pourquoi pas même les interdire en cette journée. Un accès trop libre aux jeux vidéo pour un groupe d’enfants entraîne facilement de la nervosité et d’incessants conflits. Ces jeux peuvent se mener en bonne intelligence lorsque votre enfant est avec un ou deux amis, mais tout un groupe c’est autre chose !

L’âge où on est apte à faire des jeux vidéo en groupe de façon pacifique démarre davantage vers les 15 ans. Là, on peut même monter des équipes et se rendre à des tournois ou conventions. Mais c’est une autre histoire…

Le choix des invités, l’envoi des invitations

(cartons d’anniversaires… ou invitation numérique ?)

Voilà qui n’est pas toujours évident ! On veut faire plaisir à son enfant, et en même temps tout n’est pas possible. Pour une meilleure ambiance, mieux vaut choisir qui on invite en fonction des personnalités… Par exemple, un excité pour un plus calme 🙂

(Si vous invitez 15 excités qui ont juste envie de courir dans un parc, vous sabotez vous-même d’avance la journée… sauf si vous avez juste prévu d’aller les faire courir dans un parc 🙂 ).

Plus les petits Einstein sont nombreux, plus c’est compliqué… n’est-ce pas ? Aux Délirovores, nous conseillons une dizaine. Et grand maximum 15. Au-delà, votre enfant n’a pas le temps d’échanger avec tout le monde et l’ambiance devient davantage « boum » ou « grand jeu collectif ».

De plus, côté pédagogie, il est important d’être attentif à chacun : ses expériences personnelles, ses questions, l’aider en cas de difficultés…

Entre 7 et 12 enfants : la complicité est plus forte, l’esprit de camaraderie plus authentique. Mais il est vrai aussi que l’attention d’un groupe n’est pas seulement en fonction de l’âge et du nombre. Même si les petits ont tendance à être plus dissipés que les grands, il nous arrive d’avoir des enfants de 12 ans un peu difficiles à tenir ou bien un groupe de 6 ans super accaparé.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *